La victime : « Il m’a menacée de mort ! Il a crié : ‘Je vais te bouffer la chatte !’ »
Le président : « Je ne savais pas qu’on pouvait en mourir ! »–
Le président : « Expliquez-nous pourquoi vous avez tué ce malheureux homme-sandwich ? »
Le prévenu : « J’avais faim. »–
Un escroc : « Le seul bénéfice auquel j’aspire aujourd’hui, c’est celui du doute. »
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Un prévenu : « J’ai tout nié depuis le début, ce n’est pas maintenant que je vais dire la vérité. »
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Le président : « Vous avez des antécédents ? »
Le prévenu : « Non, je n’ai qu’une soeur. »–
Le président : « Vous l’avez violée, très bien. Vous l’avez ensuite tuée, nous comprenons. Mais pourquoi l’avoir découpée en morceaux ? »
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Un policier : « C’est alors que j’ai vu le rassemblement qui se composait même de plusieurs personnes ».
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Le président : « Donc, la date de conception de votre enfant est le 8 août ? »
Le prévenu : « Oui. »
Le président : « Et que faisiez-vous à ce moment-là ? »
Le prévenu : « Je baisais. »–
La victime : « Celui-là, c’est certain. Il était là. Je le reconnais, je l’ai vu. »
L’intéressé : « Ce n’est pas possible qu’il me reconnaisse, on portait tous des cagoules ! »–
L’agent de police : « Nous le tenions par les jambes. Il donnait tant de coups de pied pour se dégager qu’on aurait cru un serpent. »
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L’avocat à son client : « Je suis à vous, juste le temps de dépouiller votre dossier. »
Le client : « Et après ce sera mon tour ? »
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