A l’université, la notation est libre et un professeur a le droit d’être souple ou exigeant, sévère ou indulgent (tant que le principe d’égalité est maintenu : il n’a pas le droit de vous saquer parce qu’il n’aime pas votre gueule). Néanmoins, un étudiant a aussi le droit de demander des explications sur sa note… voire de la contester. Mode d’emploi.
Option n°1 : demander des explications
En cas de note surprenante ou d’annotations illisibles, il ne faut pas hésiter à demander des explications au correcteur (en restant poli, ça marche mieux). On obtient alors généralement à la fois des éclaircissements et des conseils… mais pas de modification de la note, sauf si le correcteur reconnaît qu’il s’est trompé (ce qui est rare).