Ne rédigez pas votre introduction à la va-vite ! En volume global, elle représente environ un tiers de votre devoir. Saccagez-la et vous le sentirez passer… dans votre note (entre 5 et 7 points, en fonction du correcteur). Et ce serait bien dommage, car la construction d’une introduction n’est pas bien méchante à retenir :
• l’accroche
• la présentation du sujet
• l’énoncé de la problématique
• l’annonce du plan
L’accroche peut être une citation, un adage latin, un fait d’actualité. L’essentiel est d’accrocher le lecteur, par une formule percutante, un trait d’esprit ou une remarque pertinente. Oubliez l’accroche et le correcteur oubliera un point, c’est mathématique.
La présentation du sujet englobe la définition des termes (lorsque c’est nécessaire), la contextualisation historique ou juridique (ce qui se produisait avant, ou ce qui se produit ailleurs) et tout ce qui permet de situer le sujet. N’oubliez pas de relever les enjeux posés : ils sont la raison de la dissertation ou du commentaire.
L’énoncé de la problématique n’est plus ni moins que la question à laquelle vous allez répondre. Formulez-la donc comme telle, en finissant par un point d’interrogation. Vous pouvez aussi utiliser une formule du type « il s’agit donc de savoir si… » mais ne finissez pas par un point d’interrogation le cas échéant !
L’annonce du plan consiste à annoncer les grandes parties de votre démonstration, en faisant apparaître leur indexation par deux symboles très simples : (I) et (II).
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